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 (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind.

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Charlie-Nora Flanders

Charlie-Nora Flanders
crédits : wednesday (avatar)

Date d'inscription : 07/09/2016

Messages : 225

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MessageSujet: (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind.   (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind. EmptyMer 14 Sep - 18:45

JE ME FOUS DU REGARD DES AUTRES TANT QUE J'EXISTE DANS LE TIEN.

NOM ≈ flanders PRÉNOMS ≈ charlie-nora SURNOM(S) ≈ chatoune ÂGE ≈ vingt-deux DATE DE NAISSANCE ≈ le 22 juin 1994 LIEU DE NAISSANCE ≈ dublin ORIGINES ≈ irlandaises NATIONALITÉ ≈ irlandaise et canadienne ORIENTATION SEXUELLE ≈ hétérosexuelle STATUT SOCIAL ≈ modeste ++ STATUT CIVIL ≈ fiancée MÉTIER ET/OU ÉTUDES ≈ étudiante en littérature anglo-saxonne et journaliste free-lance de temps en temps. GROUPE≈ lost boys AVATAR ≈ lily collins CRÉDITS ≈ avatar by tag

 


 QUALITÉS ≈ sensible, courageuse, souriante, indépendante, déjantée, franche, grande enfant.
 DÉFAUTS ≈ jalouse, méfiante, impulsive, perfectionniste, rancunière, solitaire, bordélique.

 


 POURQUOI LES lost boys EN PARTICULIER ? et si vous expliquiez aux chefs de confréries pourquoi vous avez envie de les rejoindre ? c'est le moment de vous vendre, de faire briller nos yeux, de nous faire croire aux licornes (même si tout le monde sait déjà qu'elles existent) et de les persuader que vous êtes un personnage tout à fait indispensable.
charlie-nora flanders
 
PSEUDO/PRÉNOM ≈ gipsy.heart aka chloé, ou blondasse comme vous voulez. ÂGE ≈ dix-neuf ans. je commence à me sentir vieille. SEXE ≈ pas le premier soir. PLANÈTE/PAYS/RÉGION ≈ écrire ici LES LICORNES, TU AIMES ? ≈ j'ai en poster licorne en face de mon lit, c'est la première et la dernière chose que je vois tous les jours. (true story) T'AS PAS ENVIE D'ÊTRE UN PANDA, TOI ? ≈ on est d'accord, c'est trop mimi les bébés panda ? (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind. 3185491404 TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ≈ demande à Clélia (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind. 196895622 ON EST BAISABLE OU PAS ? ≈ surtout moi, avouons le (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind. 2608727681 UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ≈ soyons géniaux et tout ira bien I love you UN DERNIER TRUC A DIRE POUR TA DÉFENSE ? ≈ je m'aime. mais pas trop. (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind. 3220089963
 
Code:
<b>lily collins</b> ≈ votre pseudo en minuscules


Dernière édition par charlie-nora flanders le Dim 30 Oct - 19:37, édité 7 fois
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Charlie-Nora Flanders

Charlie-Nora Flanders
crédits : wednesday (avatar)

Date d'inscription : 07/09/2016

Messages : 225

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MessageSujet: Re: (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind.   (flanders) she is addictive because she possesses a pure heart and a dirty mind. EmptyMer 14 Sep - 18:45


 


tu joues souvent avec tes cheveux. - tu te mords tout le temps les lèvres. - tu as besoin de ton quota de musique chaque jour pour ne pas être de mauvaise humeur. - tu es accro aux sucreries. - tu as deux tatouages : une colombe dans le cou, et une petite phrase, never grow up, à l'intérieur de ton poignet gauche, en rappel à peter pan et au fait que tu veuilles pour toujours rester une enfant. - une année, tu as mangé tous les chocolats du calendrier de l'avent de ton grand frère parce qu'il avait refusé de te laisser jouer avec lui. - tu as longtemps cru au prince charmant. maintenant tu n'en supportes même plus le concept. - tu joues du piano depuis que tu es ado, et tu adores chanter sous la douche. - tu rêves d'être un jour publiée, même si tu es persuadée de n'avoir aucun talent.


PARTIE I Les enfants, dans le noir, ça fait des bêtises mais des bêtises dans le noir, ça fait des enfants. assise sur la terrasse, les bras croisés sur ta poitrine, tu boudes purement et simplement, regardant adriel et luckaël jouer au foot. tu entends ta mère se moquer gentiment de toi quand elle passe dans ton dos pour apporter leur goûter aux garçons. tu sais que ce n'est plus de ton âge de bouder ainsi, surtout pour une raison aussi immature qu'un refus, mais tu t'en fiches. toi aussi tu voulais courir, te rouler dans l'herbe, rire sans savoir pourquoi. mais quand adriel, ton frère ainé, te dit non, qu'il t'annonce une fois de plus qu'il ne veut pas que tu joues avec eux, tu sais que tu ne peux rien faire d'autre que te taire et attendre que luckaël ne parvienne à le faire craquer. tu le regardes courir, prendre le ballon des pieds de ton frère, le faire tomber en riant. ils se chamaillent, riant tous deux aux éclats. tu vois ton frère se relever pour l'attraper, luckaël qui accélère pour te rejoindre et se cacher derrière toi. « pause. charlie me protège, tu peux rien me faire, c'est la règle. » adriel vous rejoint, il ouvre la bouche pour protester, la referme sans rien dire, avant de visiblement changer d'avis. « je m'en fiche, c'est l'heure du goûter de toute façon. » tu regardes luckaël, qui te renvoies ce coup d'oeil complice, et vous haussez les épaules en même temps, à la même seconde, au même instant, et vous explosez de rire, comme les enfants insouciants que vous êtes. tu ne boudes plus. tu n'as jamais envie de faire la tête quand luckaël est avec toi, quand il passe un bras autour de tes épaules, quand il dépose un baiser sur ton front. tu n'as que douze ans, et du haut de tes quelques printemps, tu crois savoir ce que c'est d'aimer, d'être heureuse. ce que tu ne sais pas, c'est que le bonheur ne dure jamais, que tout est question d'équilibre dans la nature, qu'à chaque instant de bonheur, il y a un malheur égal. « charlie, tu viens jouer avec nous après ? » tu ne réponds pas, faisant simplement la moue. et il te comprend. tu n'as pas besoin de parler pour qu'il devine que tu ne veux pas à cause de ton frère. mais il s'en fiche. tu sais qu'il se fiche de l'avis de son meilleur ami. il a envie que tu passes du temps avec eux, autant que toi tu en as envie. tu le sais. il ne prendrait pas tout le temps parti pour toi autrement. « ne t'en fais pas pour adriel, il sera obligé de dire oui s'il ne veut pas jouer tout seul. » il te fait un clin d'oeil avant de se relever. et tu souris bêtement, comme la gamine aveugle que tu es. mais tu t'en fiches. tu es heureuse. et c'est tout ce qui compte.

PARTIE II Tomber amoureuse du meilleur ami de ton frère, ou comment foutre la merde.tu te laisses glisser le long du carrelage froid du mur des toilettes du lycée, les larmes dévalant tes joues. tu donnes un coup de pied dans l'une des portes battantes en face de toi, sans savoir pourquoi. en réalité, tu sais pourquoi. tu sais que c'est parce que tu te détestes de pleurer chaque fois que tu t'énerves. tu as la larme facile, et tu détestes ça. autant que tu détestes toutes ces filles qui tournent autour de luckaël, toutes ces filles qui le convoitent, toutes ces filles qui pensent qu'il leur appartienne, alors qu'elles ne le connaissent même pas à moitié aussi bien que toi. tu sais que c'est à cause de ça qu'elles t'en veulent. elles te voient probablement comme une menace parce que tu as grandi avec lui, tu le connais par coeur, tu passes tout ton temps avec lui. il est là leur problème. mais elles n'ont rien compris. elles ne savent pas qu'il ne te voit pas comme ça. elles ne savent pas qu'il te voit uniquement comme la petite soeur de son meilleur ami, peut-être sa seconde soeur. mais c'est tout. tu n'as jamais été plus pour lui, tu ne le seras jamais. tu en es convaincue au fond de toi, même si tu aimerais que ce soit possible. sauf que tu sais que c'est impossible. et pourtant, quand tu entends la porte s'ouvrir et que tu lèves les yeux pour le voir, pour voir son expression inquiète, tu as envie d'y croire. « charlie. » tu es plus que ravie de le voir, de savoir qu'il t'a choisie toi, une fois de plus. mais quand tu vois la marque rouge sur sa joue, tu sais que c'est ta faute. bien involontairement, mais ta faute tout de même. tu sais que c'est parce qu'il est trop proche de toi, parce qu'il a choisi de venir te réconforter toi et pas sa petite amie, une fois de plus. et pourtant, tu ne parviens pas à t'en vouloir. il est là, et c'est tout ce qui compte. il te rejoint, s'assoit à côté de toi comme quand vous étiez gosses et te prend dans ses bras. tu poses la tête sur son épaule et fermes les yeux pour te laisser bercer par le son de sa voix fredonnant l'une de tes chansons préférées, esquissant un sourire quand il sèche tes larmes de la pulpe de son pouce. « tu sais que tu vas finir par me tuer ? un de ces jours, je vais tomber sur une folle furieuse ultra jalouse, et elle finira par m'étouffer dans mon sommeil parce que je t'aurais fait un gros câlin. » tu ne peux t'empêcher de lever la tête et de pouffer comme une collégienne face à son sourire en coin qui en a fait fondre plus d'une. « ah ! je préfère ça. tu es tellement plus belle quand tu souris ma petite charlie. » tu lui tires puérilement la langue, preuve que tu es encore une grande enfant. « c'est pas vrai, je ne pleure pas. ou plutôt, je pleure qu'elle soit partie avant que je ne finisse de lui dire le fond de ma pensée. » il explose de rire, et tu ne peux pas faire autrement, c'est plus fort que toi, tu es obligée de sourire. tu plantes un baiser sur sa joue et reposes la tête sur son épaule. tu voudrais rester ainsi pendant des heures, ne rien faire, simplement profiter de ce petit moment à deux, mais il te rappelle bien trop vite que vous ne pouvez pas, bien malheureusement. « allez flanders, faut qu'on se bouge avant qu'adriel ne me rappelle que tu es sa petite soeur. et son regard méchant. tu ne veux pas voir ce regard méchant. » tu le regardes et lèves les yeux au ciel en voyant son sourire de grand enfant fier de ses bêtises. tu secoues la tête en te mordant la lèvre avant de te remettre sur pieds. tu époussettes ton jeans avant de lui tendre une main qu'il prend sans hésiter. et il se retrouve à te surplomber de toute sa hauteur, dans une proximité presque gênante que tu apprécies tant. mais bien trop tôt à ton goût, tu le vois s'éloigner de toi. une fois de plus.

PARTIE III Le bal de fin d'année, ou la page tournée. le soleil chauffant la peau dénudée de ton épaule, tu n'as pas envie de bouger, bercée comme tu l'es. tu pourrais rester ainsi pendant des heures, peut-être même des jours, mais ce qui te sert de matelas ne semble pas de cet avis. alors tu ouvres doucement les yeux, pour découvrir le visage de luckaël au plus près du tien, un sourire aux lèvres quand tu croises ses prunelles. tu sens sa main se poser sur ton bras, en travers de son torse, caresser ta peau du bout des doigts, avant qu'il ne vienne déposer un baiser sur ton front. tu refermes les yeux, heureuse. c'est ce que tu es. tu repenses aux dernières heures, à la soirée magique que tu as passée, à ton bal de fin d'année qui fut parfait. il y a deux jours, quand tobias t'a annoncé que c'était fini entre vous, il était hors de question pour toi d'aller au bal, celui dont tu rêvais depuis ton entrée au lycée. la veille encore, tu pleurais toutes les larmes de ton corps, ne voulais voir personne. tu avais envoyé balader ton frère comme jamais quand il t'avait dit qu'il avait une surprise pour toi, que tu aurais tout de même dansé. comme une idiote, tu pensais qu'il avait l'intention de t'y emmener lui-même. ce n'est que quand luckaël, digne des plus grands mannequins dans son smoking, une rose blanche à la main, avait poussé la porte de ta chambre que tu avais compris. il était là pour toi. il était là pour toi alors que vous ne passiez plus de temps ensemble, maintenant qu'il était à la fac. mais il était revenu pour toi. il s'était fait beau pour toi, la pauvre petite charlie-nora qui ne ressemblait à rien vêtue de son pyjama des mauvais jours et le visage baigné de larmes. tu ne voulais pas y croire, tu ne voulais pas croire qu'il était là, encore plus beau que pour son propre bal, tout ça pour que tu puisses toi aussi prendre part à cette stupide tradition qui te tenait tant à coeur. tu lui avais sauté au cou avant de filer à la douche et ta mère, plus que ravie de te voir heureuse, s'était occupée de tes cheveux pendant que tu te maquillais, luckaël et adriel t'attendant dans le salon. et quand tu es descendue, dans ta belle robe, luckaël était en bas des escaliers, comme le prince charmant l'aurait été dans n'importe quel film à l'eau de rose. une fois de plus, tu t'étais jetée dans ses bras, le remerciant tandis qu'il riait aux éclats. « eh peter pan, fais bien attention à la jolie wendy. » adriel étais venu déposé un baiser sur ta joue après vous avoir fait un clin d'oeil, et ce fut à son tour d'être emprisonné dans un câlin dont toi seule avait le secret. puis vous étiez partis au lycée, bras dessus bras dessous, comme quand vous étiez ados, riant comme des enfants. il t'avait complimentée, il t'avait faite te sentir belle, il t'avait faite danser toute la soirée, comme dans un conte de fées. ton conte de fées. vous étiez rentrés à pas d'heure pour retrouver une maison vide, et tu avais demandé à luckaël de ne pas te laisser seule, lui sortant l'absurde excuse que la maison te faisait peur quand elle était vide, et que tu ne parviendrais jamais à dézipper ta robe toute seule. et, tu ne savais trop comment, vous vous étiez retrouvés à vous embrasser. il n'y avait ni bougies, ni pétales de roses, comme dans tes rêves les plus fous, mais il y avait luckaël. tu savais que tu pouvais lui faire confiance, tu lui vouais une confiance aveugle même, et tu savais que c'était le bon moment. tu sentais que ça devait se passer maintenant. c'est comme ça que tu t'étais retrouvée à perdre ta virginité avec luckaël, le meilleur ami de ton frère, qui était devenu le tien et bien plus, comme ça que tu te réveillais dans ses bras, un immense sourire aux lèvres, plus heureuse que jamais. « bonjour. » tu bougeais doucement ta jambe, mêlée aux siennes, et remontais ta couette sur ta poitrine. « bonne nuit princesse ? » tu ouvris la bouche pour répondre, mais la refermais aussitôt, sentant tes joues rougir. il arqua un sourcil avant d'exploser de son rire cristallin, un son que tu adorais, qui te faisais fondre à chaque fois. tu rougis de plus belle, il rit de plus belle, et tu ne peux t'empêcher d'abattre doucement ta petite main sur son torse pour le faire taire. « arrête de te moquer de moi. » tu te mets à bouder faussement, et te retrouves sur le dos sans pouvoir protester, luckaël te surplombant de toute sa carrure. perdue dans ses yeux et son sourire, tu ne sens pas ses mains sur tes hanches jusqu'à ce qu'ils se mettent à te chatouiller, pinçant doucement ta peau. tu te débats, riant aux éclats, mais rien y fait. tu le supplies, lui promets tout un tas de choses pour qu'il arrête, mais c'est la voix d'adriel qui le stoppe finalement. « chacha, qu'est-ce qui te fait ... » il vient de pousser la porte de ta chambre, et tu vois une myriade d'émotions passer sur son visage quand il vous voit, luckaël et toi, plus qu'à moitié nus dans ton lit, dans une situation qui ne laisse place à aucun doute. « adriel, dégage de là ! » tu ne sais pas quoi faire, tu vois dans ses yeux que ton frère est furieux, sans savoir s'il en a après toi ou après luckaël, qui t'a laissée pour se rhabiller. « je croyais avoir été clair luckaël. je pensais que t'avais compris. mais t'es visiblement bien plus con que je ne le croyais. » tu regardes le principal intéressé, qui a remis son pantalon de smoking et sa chemise en vitesse. il croise ton regard, mais le détourne bien vite pour regarder adriel. « calme toi, ça va. on a rien fait de mal. » ton frère se passe une main dans les cheveux, et tu sais qu'il va exploser. tu ne l'as jamais vu comme ça, et tu sais que tu devrais te faire toute petite, mais c'est plus fort que toi. « adriel, c'est bon. je suis assez grande pour... » « non charlie, tu te tais. » tu as envie de protester, de lui dire d'aller se faire voir, mais son attention s'est déjà reportée sur luckaël. « et toi, tu dégages de chez moi. je veux plus te voir, et t'as plus intérêt à t'approcher de ma soeur, ou je te promets que tu vas le regretter. » tu regardes le beau blond récupérer sa veste sur ton bureau, alors que tu sens les larmes te monter aux yeux. il s'approche de la porte, sous le regard meurtrier de ton frère, et tu sais que rien ne sera plus comme avant. « luckaël ... » ta voix n'est qu'un murmure, tu n'es même pas sûre d'avoir prononcé son prénom, et pourtant il se retourne vers toi, croise une dernière fois ton regard avant que ton frère ne le pousse hors de ta chambre. tu les entends se hurler dessus, mais tu ne fais plus attention. tout ce que tu parviens à te dire, c'est que ton conte de fées vient de se terminer. fin de l'histoire.

PARTIE IV le rêve d'une petite fille est de trouver le prince charmant. mais que faire quand prince et charmant ne font pas qu'un ? « quoi ? » tu regardes sevan, ton petit ami depuis bientôt deux ans et demi, depuis que vous êtes rencontrés dans les couloirs de la fac, bouche bée. tu n'en crois pas tes oreilles, tu ne parviens pas à penser qu'il puisse être sérieux. « épouse-moi, charlie-nora flanders. » tu le regardes, les larmes aux yeux. tu vois dans ses prunelles tout l'amour qu'il te porte, tu peux voir à quel point il t'aime, à quel point il te trouve belle. et tu sais qu'il voit la même chose dans ton regard. tu as eu du mal à oublier luckaël, et tu sais qu'au début, tu n'es sortie avec sevan que dans le but de l'oublier. mais tu as appris à le connaitre, à le découvrir et à l'aimer. il est le prince dont toutes les filles rêvent, celui qui vous couvre de cadeaux sans raison, celui qui peut sortir d'une réunion sans prévenir juste pour vous appeler, entendre votre voix et vous dire qu'il vous aime. celui qui vous trouve aussi belle en robe de soirée qu'en vieux pyjama troué, celui qui serait prêt à tout pour vous voir esquisser un sourire. tu sais ce que tu vas lui dire, ce que tu dois lui dire, mais tu ne peux pas t'empêcher de sourire bêtement, en le voyant à genoux devant toi, en plein milieu de ce restaurant chic de toronto. « je t'aime charlie. j'aime tes grands yeux bruns, j'aime ta manie de chanter sous la douche tous les matins, j'aime que tu me réveilles parce que tu as peur de l'orage, j'aime ta façon de m'envoyer balader quand tu es en train d'écrire, j'aime ton brin de folie, j'aime ton impulsivité. j'aime même ce stupide tatouage que tu as fait quand tu étais saoule, à la st patrick. je t'aime charlie, sans mesure ni condition, et je veux t'aimer pour toujours. » c'est trop pour toi et ton petit coeur sensible, tu es obligée de laisser tes larmes déborder. tu l'aimes. tout comme tu aimes ses défauts autant que ses qualités. tu te penches doucement vers lui pour l'embrasser, un immense sourire étirant tes lèvres. « c'est oui. » deux petits mots murmurés contre ses lèvres, mais qui semblent le rendre si heureux. et tu es heureuse aussi. il te passe la bague au doigt et se relève pour vraiment t'embrasser, d'un vrai baiser de cinéma.
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